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Arrestation dans l'affaire des chèvres tuées au Jardin Robinson

Les autorités ont appréhendé un individu soupçonné d'avoir causé la mort de deux bêtes au Jardin Robinson il y a environ un an. Son ADN a été identifié sur les lieux.

Arrestation dans l'affaire des chèvres tuées au Jardin Robinson
Arrestation dans l'affaire des chèvres tuées au Jardin Robinson

L'affaire de la mise à mort de deux chèvres au Jardin Robinson de Châtelaine, près de Balexert, pourrait trouver une issue. Une première bête a été abattue dans la nuit du 28 au 29 juillet 2024, et une seconde une semaine après, aussi durant la nuit. La police a arrêté un homme la semaine dernière ; son ADN a été retrouvé sur place, selon la «Tribune de Genève». Il est inculpé pour non-respect de la loi sur la protection des animaux, détérioration de propriétés et infraction à la loi sur les armes. Considéré comme innocent, il rejette ces accusations.

Au cours d'une fouille, les forces de l'ordre ont confisqué un couteau papillon, des sabres japonais et des épées chez l'accusé, un Français né en Algérie dans la quarantaine. D'après lui, son ADN aurait pu être placé au Jardin Robinson par les services secrets algériens ou les renseignements français (DST). Le suspect évoque aussi un possible geste de jalousie d'anciens rivaux professionnels, à l'époque où il gérait une entreprise en France.